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Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino

 

 

L’aéroport international Léonard-de-Vinci (en italien : Aeroporto Leonardo da Vinci di Fiumicino) (code AITA : FCO • code OACI : LIRF) situé à Fiumicino près de Rome est le principal aéroport italien et de la capitale. Classé au 25e rang mondial pour les passagers transportés en 2010 (36 337 523), il est géré par Aeroporti di Roma (ADR S.p.A.) qui depuis 1974 est la société concessionnaire du système aéroportuaire de la capitale romaine et qui comprend outre Fiumicino, l’Aéroport international Giovan Battista Pastine, situé à Ciampino.

Avec un trafic de 36 millions de passagers en 2010 (sans l’aéroport de Rome-Ciampino) et plus de 140 compagnies aériennes à destination de 160 aéroports qu’il est possible d’atteindre depuis Rome, ADR est la principale société aéroportuaire d’Italie et la 6e en Europe (518 millions d’euros de chiffre d’affaires consolidé en 2003).

Pour faire face à l’augmentation du trafic et la saturation de l’aéroport de Ciampino, le Ministère de l’Aviation italien chercha dès 1947 un nouveau lieu pour implanter un aéroport. Trois sites étaient pressentis : Magliana Vecchia (dans la zone sud ouest de Rome), Castel di Decima (au sud est) et Casal Palocco (plus éloigné et sur la route d’Ostie). Ce dernier site fut retenu. La nouvelle Direction générale de l’Aviation civile italienne présenta en 1952 un nouveau projet d’aéroport situé à l’embouchure du Tibre et composé de deux pistes perpendiculaires.

Le projet d’aérogare fut la jonction de deux propositions : d’un côté celle de MM. Moranti et Zavitteri qui avaient remporté initialement le marché, de l’autre MM. Luccichenti et Monaco dont certaines idées avaient été retenues. Le projet fut adopté définitivement en août 1958. Les travaux se déroulèrent sur 21 mois. L’inauguration eut lieu le 20 août 1960, mais uniquement pour accueillir des vols charter dans un premier temps en raison de l’ouverture des Jeux olympiques qui s’ouvraient cinq jours plus tard à Rome. Le premier vol commercial n’interviendra véritablement que dans la nuit du 14 au 15 janvier 1961 par l’atterrissage d’un Constellation de TWA en provenance de New York et qui avait fait une escale technique à Tunis.

L’aéroport n’était pas encore terminé. Alitalia commanda dans les années suivantes la construction de hangars pour ses DC 8. En 1973, la piste n° 3 fut construite ainsi qu’un nouvel hangar pour accueillir les Boeing 747. Cette même année, une loi de l’État italien décida de confier la gestion de l’aéroport à la société Aeroporti di Roma s.p.a. (AdR) qui entra en vigueur en juillet 1974.

Le , des attaques simultanées contre les aéroports de Rome et de Vienne par le Fatah-Conseil révolutionnaire font 16 morts dans cet aéroport.

Depuis les années 1970, l’aéroport fut énormément agrandi par de nouvelles aérogares ultramodernes. Il y a actuellement quatre aérogares (Terminal A, Terminal AA, Terminal B, Terminal C). Le cinquième Terminal a été inauguré en mai 2008.

L’aéroport a actuellement quatre pistes: la 16L/34R et la 16R/34L (séparées par une distance de 4 000 mètres), la 16C/34C (utilisée comme piste de déroulage ou comme backup de la piste 16L/34R) et la 07/25 (utilisée uniquement en direction ouest à cause des vents dominants).

Depuis 2005 l’aéroport est caractérisé par des pistes pour atterrissages instrumentales de précision de catégorie III B (système ILS). Des travaux ultérieurs ont commencé en 2007 pour faire fonctionner les aides lumineux qui permettront de passer de dix mouvements actuellement permis en cas de fort brouillard à trente dans le futur.

Les travaux en 2008 pour la construction d’une nouvelle aérogare, le Pier C, permettront à l’aéroport de gérer les 55 millions de passagers envisagés par la société AdR dans la période 2008-2018.

En avril 2008, les travaux sur la piste 1 sont terminés. Ces travaux ont permis d’accueillir les grands avions de nouvelle génération comme l’Airbus A380. Une deuxième tour de bureaux inauguré en septembre 2008 pour les compagnies aériennes. Le système de cogénération sera aussi terminé en 2008 : ce système permettra à l’aéroport de produire énergie en respectant l’environnement.

Un important projet d’agrandissement de l’aéroport, baptisé “Fiumicino Due” est à l’étude. Il consisterait à adjoindre deux nouvelles pistes et un nouveau terminal au nord-ouest de l’aéroport actuel. Ce projet, d’un coût de l’ordre de 12 milliards € devrait en principe s’achever en 2037.

Aéroport de Copenhague

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Aéroport de Copenhague

L’aéroport de Copenhague (parfois « Aéroport de Copenhague, Kastrup », en danois : Københavns Lufthavn, Kastrup) est l’aéroport international de la capitale du Danemark, Copenhague.

Vaste de 1 100 hectares, il occupe le sud-est de l’île d’Amager sur la paroisse de Kastrup située sur la commune de Tårnby et plus marginalement, sur celle de Dragør. L’aéroport se situe à 8 km du centre-ville de Copenhague et à 24 km de celui de Malmö.

Kastrup est le hub principal de la compagnie Scandinavian Airlines (SAS), ainsi que de la Cimber Air. L’aéroport voit, en 2009, transiter près de 60 000 passagers par jour, soit un trafic annualisé de 19,7 millions de passagers. Il est ainsi, à cette date, le plus important aéroport des pays nordiques, suivi de près, en trafic passager, par l’aéroport international d’Oslo-Gardermoen puis par l’aéroport de Stockholm-Arlanda. L’aéroport de Copenhague est détenu par la société Københavns Lufthavne, détenue à 39 % par l’État danois, et qui possède également l’aéroport de Roskilde.

L’aéroport de Copenhague est relié au centre-ville par la ligne M2 du métro de Copenhague avec la station de Lufthavnen. Une liaison directe avec la gare centrale de Copenhague (København H) est proposée par les trains des Danske StatsBaner (meilleur temps de parcours en 2013 : 12 minutes) qui desservent la gare de l’aéroport de Copenhague-Kastrup. L’aéroport est également desservi par des trains de longue distance vers/depuis les autres régions du Danemark et la Suède, notamment la ligne Copenhague-Malmö.

Pour organiser un Mice sur le Danemark, cet aéroport est très pratique pour l’utilisation de ses terminaux disponibles en vols charters . 

Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry

L’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry (code AITA : LYS • code OACI : LFLL) anciennement dénommé aéroport de Lyon-Satolas, est un aéroport français situé sur la commune de Colombier-Saugnieu à 25 km à l’est de Lyon, dans le département du Rhône.

Avec 8,56 millions de passagers en 2013, il se classe comme le quatrième aéroport français derrière ceux de Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Nice Côte d’Azur. Sa gestion est assurée par la société Aéroports de Lyon.

L’aéroport s’étend sur une superficie de 2 000 ha, dont 900 de réserves foncières2. Il est situé sur les communes de Colombier-Saugnieu (majoritairement), Pusignan, Genas et Saint-Bonnet-de-Mure. L’aéroport profite de la situation de la région lyonnaise, carrefour historique entre les vallées du Rhône et de la Saône, et de sa proximité avec la Suisse et l’Italie.

L’aéroport est situé à environ 25 km du centre de Lyon, 75 km de Saint-Étienne, 80 km d’Annonay, 85 km de Chambéry, 90 km de Grenoble. Il est accessible depuis l’ensemble de la région Rhône-Alpes par différents moyens de transports :

  • En voiture, par l’autoroute A432 connectée aux autoroutes A42, A46 au Nord et A43 au Sud.
  • En car, grâce aux navettes régulières Satobus depuis les principales villes de Rhône-Alpes : Grenoble (avec une fréquence horaire), Bourgoin-Jallieu, Bourg-en-Bresse via Ambérieu, Annecy via Aix-les-Bains et Chambéry. Des navettes sont également disponibles sur réservation pour Valence et Vienne. Lors de la saison hivernale, des navettes sont mises en service entre l’aéroport et les principales stations de sports d’hiver de la région, ainsi que quelques stations de la région PACA.
  • En tramway depuis le centre-ville de Lyon par la liaison Rhônexpress, une ligne de tramway express qui le relie à la gare de Lyon Part-Dieu en moins de 30 minutes grâce à un nombre réduit d’arrêts intermédiaires (Vaulx-en-Velin – La Soie et Meyzieu Z.I., en correspondance avec le métro et le tramway) et une vitesse de pointe en exploitation de 100 km/h. Cette liaison est en service de h à minuit et offre aux usagers une fréquence de 30 minutes de h à h et de 21 h à h 40 et une fréquence de 15 minutes de h à 21 h. Elle remplace lors de son ouverture l’ancien service Satobus reliant la gare Lyon-Part-Dieu à l’aéroport.
  • En minibus, avec la société ELIT Voyages, qui propose en 30 minutes de rejoindre le centre de Lyon (Place Bellecour).
  • L’aéroport est équipé de :
    • Deux pistes parallèles équipées de l’ILS de catégorie III :
      • Piste A, d’origine, 4 000 m x 45 m, orientation 18R/36L, utilisée préférentiellement pour les décollages
      • Piste B, mise en service en mai 1992, 2 670 m x 45 m, orientation 18L/36R, utilisée préférentiellement pour les atterrissages
    • Trois terminaux équipés12 de 16 passerelles télescopiques d’embarquement direct et 80 postes hors passerelles :
    • Cinq parkings et deux dépose-minute d’une capacité totale d’environ 16 000 places. Les parkings les plus éloignés sont reliés aux terminaux par un service de navettes gratuites. Ces navettes fonctionnent 24/24.
    • Des parkings privés situés à proximité de l’aéroport13
    • Une gare TGV avec trois voies à quais (620 000 passagers en 2013) en service depuis 1994.
    • Des boutiques : mode, boutique hors taxes, bijouterie, tabac-presse, etc.
    • Une dizaine d’hôtels à proximité.
    • Cinq entreprises de location de voitures (Europcar, Avis, Rent A Car, Hertz, Sixt).

Aéroport de Florence-Peretola

L’aéroport a été créé en 1910. En 1938-1939, une piste en dur a été construite ; elle mesurait 1 000 m. Les premiers vols commerciaux sont apparus à la fin des années 1940. En 1984, l’aéroport a été rénové et sa piste agrandie à 1 400 m. La piste a été de nouveau agrandie de 250 m en 1996. En 2006, l’aéroport a été fermé durant 65 jours parce qu’il était nécessaire de rénover les installations aéroportuaires (piste, aérogare, etc.).

Le 5 décembre 2012, Vueling Airlines annonce l’ouverture d’une nouvelle base d’opérations pour voler à destination de Florence depuis sept destinations en Europe : Hambourg, Barcelone, Berlin, Copenhague, Londres Heathrow, Madrid et Paris Orly.

Le trafic n’a pas cessé d’augmenter depuis 2006 mais a chuté en 2009. En 2011, il est le 18e aéroport italien en termes de trafic de passagers. Sa capacité annuelle de traitement de passagers est 2 400 000 passagers.

Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino

Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino

Pour faire face à l’augmentation du trafic et la saturation de l’aéroport de Ciampino, le Ministère de l’Aviation italien chercha dès 1947 un nouveau lieu pour implanter un aéroport. Trois sites étaient pressentis : Magliana Vecchia (dans la zone sud ouest de Rome), Castel di Decima (au sud est) et Casal Palocco (plus éloigné et sur la route d’Ostie). Ce dernier site fut retenu. La nouvelle Direction générale de l’Aviation civile italienne présenta en 1952 un nouveau projet d’aéroport situé à l’embouchure du Tibre et composé de deux pistes perpendiculaires.

Le projet d’aérogare fut la jonction de deux propositions : d’un côté celle de MM. Moranti et Zavitteri qui avaient remporté initialement le marché, de l’autre MM. Luccichenti et Monaco dont certaines idées avaient été retenues. Le projet fut adopté définitivement en août 1958. Les travaux se déroulèrent sur 21 mois. L’inauguration eut lieu le 20 août 1960, mais uniquement pour accueillir des vols charter dans un premier temps en raison de l’ouverture des Jeux olympiques qui s’ouvraient cinq jours plus tard à Rome. Le premier vol commercial n’interviendra véritablement que dans la nuit du 14 au 15 janvier 1961 par l’atterrissage d’un Constellation de TWA en provenance de New York et qui avait fait une escale technique à Tunis.

L’aéroport n’était pas encore terminé. Alitalia commanda dans les années suivantes la construction de hangars pour ses DC 8. En 1973, la piste n° 3 fut construite ainsi qu’un nouvel hangar pour accueillir les Boeing 747. Cette même année, une loi de l’État italien décida de confier la gestion de l’aéroport à la société Aeroporti di Roma s.p.a. (AdR) qui entra en vigueur en juillet 1974.

Le , des attaques simultanées contre les aéroports de Rome et de Vienne par le Fatah-Conseil révolutionnaire font 16 morts dans cet aéroport.

Depuis les années 1970, l’aéroport fut énormément agrandi par de nouvelles aérogares ultramodernes. Il y a actuellement quatre aérogares (Terminal A, Terminal AA, Terminal B, Terminal C). Le cinquième Terminal a été inauguré en mai 2008.

L’aéroport a actuellement quatre pistes: la 16L/34R et la 16R/34L (séparées par une distance de 4 000 mètres), la 16C/34C (utilisée comme piste de déroulage ou comme backup de la piste 16L/34R) et la 07/25 (utilisée uniquement en direction ouest à cause des vents dominants).

Depuis 2005 l’aéroport est caractérisé par des pistes pour atterrissages instrumentales de précision de catégorie III B (système ILS). Des travaux ultérieurs ont commencé en 2007 pour faire fonctionner les aides lumineux qui permettront de passer de dix mouvements actuellement permis en cas de fort brouillard à trente dans le futur.

Les travaux en 2008 pour la construction d’une nouvelle aérogare, le Pier C, permettront à l’aéroport de gérer les 55 millions de passagers envisagés par la société AdR dans la période 2008-2018.

En avril 2008, les travaux sur la piste 1 sont terminés. Ces travaux ont permis d’accueillir les grands avions de nouvelle génération comme l’Airbus A380. Une deuxième tour de bureaux inauguré en septembre 2008 pour les compagnies aériennes. Le système de cogénération sera aussi terminé en 2008 : ce système permettra à l’aéroport de produire énergie en respectant l’environnement.

Un important projet d’agrandissement de l’aéroport, baptisé “Fiumicino Due” est à l’étude. Il consisterait à adjoindre deux nouvelles pistes et un nouveau terminal au nord-ouest de l’aéroport actuel. Ce projet, d’un coût de l’ordre de 12 milliards € devrait en principe s’achever en 2037.

dell’aeroporto di Lisbona

 

Lisbona-Portela Airport (codice IATA: LIS, codice ICAO: LPPT) si trova a Lisbona ed è il più grande aeroporto portoghese in termini di volume di traffico aereo. È stato aperto al traffico il 15 ottobre 1942 e ha due tracce.
Prima dell’inaugurazione dell’aeroporto di Portela, Lisbona è stata servita da un aeroporto primario chiamato “Campo Internacional de Aterragem” (International Landing Strip), situato in Alverca.
Durante gli anni ’30 i voli transatlantici sono stati azionati da idrogetto per ragioni di sicurezza. Una volta attraversata l’Atlantico, i passeggeri hanno preso una corrispondenza con i piani “terrestri” che li hanno portati alle loro destinazioni finali.
Lisbona è la capitale europea più meridionale, la città sarebbe il terminale ideale per questi voli transatlantici. Per questo motivo, il governo portoghese ha voluto rendere Lisbona una piattaforma aerea per i voli internazionali. A questo proposito, sono stati previsti due aeroporti: un marittimo, per gli idrovolanti e un terrestre. Un altro motivo avanzato per la costruzione di queste infrastrutture era l’Esposizione Mondiale Portoghese prevista per il 1940, che doveva attirare a Lisbona numerosi turisti stranieri (l’evento è stato definitivamente annullato a causa della Seconda Guerra Mondiale).
La costruzione dei due terminali è iniziata nel 1938 ed è stata completata nel 1940. L’aeroporto di terra costruito era Portela, quello marittimo fu Cabo Ruivo, sulle rive del Tago, a circa tre chilometri di distanza. Per facilitare la corrispondenza tra i due aeroporti è stata costruita una strada chiamata “Avenida Entre-Aeroportos” (avenue Entre-Aéroports), l’attuale “Avenida de Berlim” (viale di Berlino).

Nantes Atlantique

L’aeroporto di Nantes Atlantique (IATA: NTE, ICAO: LFRS) è un aeroporto francese situato vicino alla città di Nantes, nel dipartimento della Loira Atlantica, è il nono aeroporto francese per traffico passeggeri.

New York John F. Kennedy

L’aeroporto internazionale John F. Kennedy (John F. Kennedy International Airport) di New York (IATA: JFK, ICAO: KJFK) è un aeroporto internazionale situato sulla Long Island, a sud-est della città di New York a circa 19 km dal centro di Manhattan. Il nome viene spesso abbreviato in aeroporto JFK, aeroporto Kennedy o semplicemente JFK.

L’aeroporto John F. Kennedy, o semplicemente JFK, è una delle principali vie di accesso agli Stati Uniti[1] ed è anche il principale accesso di merci per valore di beni trasportati.

L’aeroporto è gestito dalla Port Authority of New York and New Jersey, che controlla anche gli altri due aeroporti dell’area metropolitana di New York: il Newark-Liberty e il La Guardia.

Parigi Charles de Gaulle

title aéroport de Paris

L’Aeroporto di Parigi-Charles de Gaulle (IATA: CDG, ICAO: LFPG), comunemente noto come Aeroporto di Parigi-Roissy, in francese Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, è un aeroporto francilien situato a venticinque km a nord-est di Parigi. È il primo aeroporto francese; il suo nome è dovuto alla città di Roissy-en-France, della quale occupa più della metà del territorio, e al generale Charles de Gaulle, che è stato presidente della Repubblica francese a cui è stato intitolato l’8 marzo 1974 al momento dell’inaugurazione; prima era conosciuto come Aéroport de Paris Nord. Talvolta è chiamato aéroport Charles-de-Gaulle, Roissy, Paris-Roissy o Charles de Gaulle.